Message Important

Peut-être avez vous remarquez que depuis cet été le blog tourne au ralentit, que les messages sont de moins en moins fréquents bref, que ce connard d'auteur s'endort !!! Et bien un peu oui, cet auteur est un jeune con qui doit préparer son avenir professionnel tout en faisant un peu de vélo pour le plaisir. Il galère pour finir tout les livres de Cavanna qu'il à dans la pile "en court", non pas qu'il n'aime plus le style du bonhomme (ça jamais !!!) mais il diversifie ses lectures et surtout il écoute pas mal de Rock N Roll (salaud de Chuck Berry !). Bref je ne sais pas trop quel est le rapport entre tout ses trucs mais j'écris ce message aujourd'hui pour vous annoncez que je ferme le blog pour en ouvrir un nouveau qui s'appellera : Philippe Val, sa vie, son oeuvre !







(J'ai hésité avant de l'écrire cette connerie là !)







Ne restons pas sérieux, je publierais que très rarement des nouveaux messages ici, seulement quand l'envie me prendra ou qu'une fausse pub ou un dessin me sautera aux yeux et que je me dirais : Putain, ces gars était des génies ! De temps en temps vous aurez même droit à du texte si j'arrive à voler un micro et un logiciel de synthèse vocal. J'espère que cet arrêt vous donnera l'envie de lire de vous même de vieux Hara-Kiri et toutes les B.D et livres qui s'en rapportent.



Ne vous inquiétez pas un jour j'effacerais ce texte et je reviendrais vous bottez le cul avec mes archives Hara-Kiriennes !







Adishatz.



Les deux Fondateurs

jeudi 14 avril 2011

La saviez-vous ?

  • Si on laisse tomber en chute libre un camembert depuis une hauteur de cinq mille mètres, il percute le sol avec une vitesse telle que le choc est aussi violent qui s'il s'agissait d'un bloc d'acier. On pourrait donc parfaitement utiliser le camembert en guise d'enclume, malheureusement ça ne dure pas.


  • La crittique ait aizé mais l'orttograf est difissile


  • On a retrouvé, ans la vallée de Nazareth, en Galilée, le long tuyau par lequel Dieu fit descendre son sperme dans la vierge marie

Qui l'eut cru ?

Monsieur Marcellin est un fameux cuistot. Malgré les graves différends existant entre les agents des forces de l'ordre et leur ministre, celui-ci reste en place et l'on sait maintenant pourquoi : il les tient par la gueule.

mardi 12 avril 2011

CAVANNA dans le journal de France 2



L'angoisse de la rentrée

Lettres des Lecteurs

Je suis chirurgien et j'ai oublié, dans le ventre d'un opéré, mon manteau, mes gants, ma canne et mon chapeau. Cela ne serait pas bien grave si, dans une poche du manteau, il n'y avait pas le dernier numéro du journal Hara-Kiri auquel je suis abonné et que, malheureusement, je n'avais pas encore lu. Si vous aviez la gentillesse de me faire parvenir un autre numéro, cela m'éviterait de réopérer le malade.


Avant de partir en vacances, j'ai enfermé le chat dans l'appartement avec 30 boites de "Ronron", mais j'ai oublié de lui dire où se trouvait l'ouvre-boite. J'ai bien essayé de lui téléphoner mais il doit dormir et ne pas entendre la sonnerie cr il ne répond pas. Si j'envoie une lettre avec la mention "pour le chat", croyez-vous qu'un facteur aime assez les animaux pour monter les cinq étages et la lui remettre ?


Si je verse un kilo de sucre dans un reste de civet de lapin, combien de temps dois-je laisser cuire pour obtenir de la confiture ?


A l'occasion de centième anniversaire de la Ste-Vierge de Lourdes, j'ai proposer au Pape d'organiser une quête nationale afin d'offrir une balayette à l'Immaculée-Conception. Ainsi, vu son grand âge, pour nettoyer dans sa grotte les écorces de cacahouètes que lui jettent les pèlerins, La Sainte-Vierge se fatiguerait moins qu'en les poussant dehors en soufflant dessus. Le Pape n'ayant pas encore répondu à ma lettre, dois-je en conclure qu'il fait partie de ces feignants qui ne pensent qu'aux vacances ?


Pour empêcher mes enfants de ronger leurs ongles, j'ai coupé au sécateur la première phalange de leurs petits doigts. Pourriez-vous m'indiquer une cachette sûre où je puisse ranger les bouts afin qu'ils ne risquent pas de les retrouver et continuer à les ronger.



Le professeur Choron venant d'apprendre la mort brutale d'un de ses bégonias de son balcon, il ne répondra à ces lettres que lorsque ses larmes ne risqueront plus de faire sur le papier des taches de vin rouge.