Message Important

Peut-être avez vous remarquez que depuis cet été le blog tourne au ralentit, que les messages sont de moins en moins fréquents bref, que ce connard d'auteur s'endort !!! Et bien un peu oui, cet auteur est un jeune con qui doit préparer son avenir professionnel tout en faisant un peu de vélo pour le plaisir. Il galère pour finir tout les livres de Cavanna qu'il à dans la pile "en court", non pas qu'il n'aime plus le style du bonhomme (ça jamais !!!) mais il diversifie ses lectures et surtout il écoute pas mal de Rock N Roll (salaud de Chuck Berry !). Bref je ne sais pas trop quel est le rapport entre tout ses trucs mais j'écris ce message aujourd'hui pour vous annoncez que je ferme le blog pour en ouvrir un nouveau qui s'appellera : Philippe Val, sa vie, son oeuvre !







(J'ai hésité avant de l'écrire cette connerie là !)







Ne restons pas sérieux, je publierais que très rarement des nouveaux messages ici, seulement quand l'envie me prendra ou qu'une fausse pub ou un dessin me sautera aux yeux et que je me dirais : Putain, ces gars était des génies ! De temps en temps vous aurez même droit à du texte si j'arrive à voler un micro et un logiciel de synthèse vocal. J'espère que cet arrêt vous donnera l'envie de lire de vous même de vieux Hara-Kiri et toutes les B.D et livres qui s'en rapportent.



Ne vous inquiétez pas un jour j'effacerais ce texte et je reviendrais vous bottez le cul avec mes archives Hara-Kiriennes !







Adishatz.



Les deux Fondateurs

mercredi 26 octobre 2011

Patrons Séquestrés

Nos reporters ont rendu visite aux patrons séquestrés


Partout, nous avons constaté que le régime de la séquestration était appliqué avec humanité. Ce conseil d'administration (ci-dessous), autorisé à goûter les joies de la pêche, ne nous contredira pas.

Nous ne saurions terminer autrement que par un appel à la solidarité. Envoyez vos dons à l'Oeuvre des Epouses de Séquestrés dont la présidente, ci-dessous, vous expose le drame.

samedi 22 octobre 2011

Hara Kiri, jusqu’à l’os

Présentation de l'éditeur


Collecte méthodique de nombreuses plongées en apnée aux tréfonds de l’enfer des archives d’Hara Kiri, ce recueil représente une tentative de sonder l’insondable. Qu’on se le dise, l’ouvrage exhume les pièces maîtresse d’un type de mauvais goût revendiqué, absolu, radical et explosif. Dès lors, ses déflagrations risquent d’éprouver sévèrement les esprits délicats. Miscellanées de 25 ans de grossièretés, Jusqu’à l’os, il est vrai, ne sent pas que la rose : il convient donc de l’explorer comme des annales barbares, la chronique d’une belle époque révolue, lorsque le principe de précaution n’était pas encore coulé dans le bronze… Dans un souci pédagogique, Jusqu’à l’os s’applique à dégager les thématiques essentielles à la bonne compréhension de ses propos. C’est ainsi que l’œuvre d’Hara Kiri est ici abordée selon une dizaine d’entrées représentatives du grand dessein ayant animé cette publication, dont une sensibilité écologique avant-gardiste (« Torchez-vous avec des arbres pour éviter la déforestation ») ou encore une défense pointilleuse des valeurs républicaines (« Liberté, Egalité, Poing dans la gueule »). La bienséance nous interdisant de détailler la conception de la sexualité et l’amour courtois selon Hara Kiri, nous renvoyons les lecteurs aux chapitres concernés : cf. Les bas morceaux et Salopes. En revanche, les suggestions régulièrement délivrées aux aficionados de la bande à Cavanna (chapitre 2 Suggestions) méritent d’être lus de 7 à 77 balais. Cette mine d’inventions –telle « la cafetière à vin blanc pour ceux qui n’aiment pas le café au réveil »- s’avère en effet toujours aussi pertinente pour transfigurer le morne quotidien en petit paradis.



Enfin, c’est avec un plaisir sans mélange que chaque lecteur découvrira la montre Hara Kiri, objet culte dont on comprend aisément que personne n’osa jamais le rééditer. Une aubaine, car cette tocante finement ouvragée permettra à tous de briller avantageusement en société… en attendant qu’une Rolex tombe du camion.