Message Important

Peut-être avez vous remarquez que depuis cet été le blog tourne au ralentit, que les messages sont de moins en moins fréquents bref, que ce connard d'auteur s'endort !!! Et bien un peu oui, cet auteur est un jeune con qui doit préparer son avenir professionnel tout en faisant un peu de vélo pour le plaisir. Il galère pour finir tout les livres de Cavanna qu'il à dans la pile "en court", non pas qu'il n'aime plus le style du bonhomme (ça jamais !!!) mais il diversifie ses lectures et surtout il écoute pas mal de Rock N Roll (salaud de Chuck Berry !). Bref je ne sais pas trop quel est le rapport entre tout ses trucs mais j'écris ce message aujourd'hui pour vous annoncez que je ferme le blog pour en ouvrir un nouveau qui s'appellera : Philippe Val, sa vie, son oeuvre !







(J'ai hésité avant de l'écrire cette connerie là !)







Ne restons pas sérieux, je publierais que très rarement des nouveaux messages ici, seulement quand l'envie me prendra ou qu'une fausse pub ou un dessin me sautera aux yeux et que je me dirais : Putain, ces gars était des génies ! De temps en temps vous aurez même droit à du texte si j'arrive à voler un micro et un logiciel de synthèse vocal. J'espère que cet arrêt vous donnera l'envie de lire de vous même de vieux Hara-Kiri et toutes les B.D et livres qui s'en rapportent.



Ne vous inquiétez pas un jour j'effacerais ce texte et je reviendrais vous bottez le cul avec mes archives Hara-Kiriennes !







Adishatz.



Les deux Fondateurs

dimanche 18 septembre 2011

Un jeu pour jouer à apporter le réconfort avec Hara-Kiri

Prenez votre Hara-Kiri sous le bras et allez vous promener. Avec un peu de chance, vous trouverez dans une rue un corbillard suivi d'un cortège et se dirigeant vers un cimetière. Courez vous placer devant le corbillard et marchez sans vous retourner. Tout en marchant, détachez les pages les pages de votre Hara-Kiri et laissez-les tomber une à une sur le sol. Étant donné que, dans les cortèges d'enterrements, les gens qui ont le plus de douleurs marchent la tête baissée, il devient évident qu'ils sont obligés de voir les pages que vous semez par terre devant eux. Ils vont donc, en même temps, lire ce qu'il y a dessus. Si vous entendez un éclat de rire dans le cortège vous gagnez 10 points. Si tout le cortège se met à rire, vous gagnez 80 points. Vous gagnez complètement, c'est-à-dire100 points, si en plus du cortège, les chevaux qui traînent le corbillard se mettent à rire aussi.
Par contre, si personne ne rit et que vous sentez une main ferme empoignez le fond de votre pantalon pour tenter de vous éloigner, vous êtes subitement dégoûté de vouloir apporter du réconfort à des gens qui ne savent pas reconnaître vos efforts. Dans ce cas-là vous perdez, mais essayez une autre fois en utilisant le journal "Le Pélerin" car, peut-être qu'après tout, le journal Hara-Kiri n'est pas assez marrant.

Lettres des Lecteurs

 * Ma femme me dégoûte depuis qu'elle a le ver solitaire. Je ne puis caresser son ventre sans penser au grand serpent blanc qui rampe à l'intérieur et qui mange des choses sales. Avant de prendre la décision de me séparer définitivement de mon épouse, je voudrais tout de même essayer de la débarrasser de cette vilaine bête. J'attends vos conseils avec impatience car je suis, à chaque instant, secoué de haut-le-coeur.

Il n'y a qu'un seul moyen, c'est celui qu'utilisent les charmeurs de serpents pour les faire sortir du panier dans lequel ils dorment. Donc achetez vite une flûte et tenez-moi au courant.




 * Je fabrique des matraques pour C.R.S dans une usines de matraques et je désirerais les saboter. Pour celles qui sont confectionnées en caoutchouc, c'est assez simple. Je les creuse de l'intérieur jusqu'à ce qu'elles aient l'air d'un ballon d'enfant dégonflé. Ensuite je souffle dedans pour qu'elle redeviennent bien raides et bien rondes. Les C.R.S ne s'aperçoivent de rien mais dès qu'ils frappent un peu fort les matraques ballons éclatent et c'est marrant. pour celles confectionnées en bois, je n'ai encore trouvé aucun moyen de les saboter. C'est pourquoi je vous écris pour que vous me donniez des idées.

C'est pourtant simple. Au lieu de faire un manche à la matraque, vous en faites deux. un à chaque bout. Le C.R.S voit alors qu'il y a deux manches à sa matraque et il croit qu'il doit les empoigner avec ses deux mains. Du coup, ce n'est plus une matraque qu'il a dans les mains mais un guidon de vélo.

Professeur Choron
Candidates Saintes-Vierges malheureuses allant se pendre après que le choix de Dieu se fut arrêté sur Marie.

CONTE DE NOËL EXPRESS